L’antisionisme n’est pas une opinion, c’est une incitation au crime et à la ségrégation ! Arnold Lagémi
Soutenir qu’on peut être antisioniste sans être antisémite est un faux débat visant à neutraliser une des conséquences les plus dramatiques de l’opposition au sionisme: la volonté d’anéantissement de l’Etat Juif. Être antisioniste, de la façon, dont on l’entend depuis quelques années, n’est pas, n’est plus un désaccord avec tel ou tel aspect de la politique menée par le gouvernement israélien, c’est nier la légitimité, par laquelle l’Etat d’Israël justifie sa place parmi les nations.
L’antisionisme a passé le cap de la critique circonscrite pour se hisser à accusation globalisante, rejetant « la présence d’un seul Juif sur la terre de Palestine. » Ce radicalisme proche du nazisme, notamment par la généralisation de la volonté exterminatrice ne reconnaît pas à l’Etat d’Israël le droit de vivre. Il n’hésite plus à poser, comme principe intangible, irréfutable, l’impossibilité israélienne d’amélioration. Le sionisme, expression de l’arbitraire et de l’inique est belliqueux. Il est préjudiciable pour les Arabes du Moyen Orient, et, par conséquent représente un risque potentiel pour la stabilité et la paix dans le monde. Lire la suite sur http://www.arnoldlagemi.com/?p=4366