Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

 

Résumé des faits : plusieurs véhicules israéliens ont été victimes d'un traquenard bien organisé. Dans le cas du premier véhicule israélien lynché, voici avec quelques jours de recul et beaucoup d'informations comment cela s'est passé.

 

Un véhicule israélien circule dans le quartier de Silwan (Siloé) soudain, une voiture palestinienne qui le suivait, lui laisse le passage, il la dépasse donc et la voiture se met en travers pour l'empêcher de faire marche arrière. Il est alors, caillassé avec violence, comme en témoigne son pare-brise éclaté et les pierres retrouvées à l'intérieur du véhicule. De nombreux photographes (huit photographes qui se trouvent sur le lieu du guet-apens tout à fait "par hasard") se tiennent sur le coté et mitraillent la scène. Deux jeunes enfants se précipitent alors sur la voiture, le chauffeur fait une embardée mais ne peut les éviter, un des enfants est projeté sur le capot puis retombe au sol heureusement sans trop de mal (il aurait pu mourir)

Le chauffeur israélien qui voyageait avec son fil de 12 ans raconte qu'il a eu très peur que les émeutiers tirent son fils de la voiture pour l'enlever, il a donc appuyé sur l'accélérateur jusqu'à la plus proche station de police pour rendre compte de ce qui s'était passé et déposer une plainte.

L'incident s'est répété exactement dans les mêmes conditions un peu plus tard au même endroit (il le voulait vraiment leur enfant palestinien écrasé par les Israéliens !) avec une femme voyageant avec sa fille qui est en état de choc. Regardez bien la grosseur des pierres retrouvées dans sa voiture !

Remarquez aussi comment les photographes se précipitent pour photographier l'enfant au sol au lieu de lui porter secours, pire remarquez comment on prend l'enfant de force pour le mettre dans une ambulance (qui est là aussi par hasard) alors qu'il s'y oppose de toutes ses forces, il s'aggrippe à la porte de l'ambulance pour résister, quelle grande délicatesse dans le traitement de cet enfant ! D'abord, on l'envoie se faire tuer pour faire un scoop sur les cruels israéliens tueurs d'enfants et puisqu'il n'est que légèrement blessé (D. merci) on le malmène pour le transporter dans un hôpital arabe où là les reporters auront tout loisir de le filmer et de lui faire dire ce qu'ils veulent !
Il paraît que ces jeunes enfants qui n’ont pas conscience du danger et veulent jouer aux héros, avec leur photo dans les journaux reçoivent quelques pièces pour mettre leurs vies en danger !

La responsabilité des journalistes et photographes est patente !

 Voici une courte lettre que j'avais envoyée à propos de l'affaire Al-Dura :

"Il y a bien longtemps que je désire vous envoyer ce petit témoignage et je me décide à le faire ce soir bien que très brièvement. En 1990, j'habitais à Jérusalem et je partageais un appartement avec une colocataire Vera Biton qui était correspondante en Israël d'un quotidien de Sao Paulo au Brésil. Un jour elle a été invitée ainsi que tous les journalistes étrangers ayant une accréditation à une "visite guidée" à Gaza par d'éminents Palestiniens chargés des relations avec la presse étrangère et surtout bons propagandistes. Ce à quoi elle a assisté ce jour-là l'a tout simplement dégoutée de poursuivre son métier en Israël, ces convictions morales l'empêchant de continuer et aussi incroyable que cela puisse sembler, cette jeune femme courageuse et honnête a préféré chercher un autre travail ! Ce jour-là on avait promené tous ces journalistes en les emmenant sur des lieux de "mises en scènes" d'émeutes qui comme par hasard se déclenchaient au moment où on leur demandait de filmer les scènes qui avaient été bien préparées à l'avance avec des "acteurs" et la plupart des journalistes se sont exécutés ! Ce souvenir est bien ancré dans ma mémoire et c'est pour cela que ma conviction sur l'affaire Al Dura est faite depuis longtemps.
Je ne crois pas un instant que les journalistes en place en Israël ne soient pas au courant, ni n'aient jamais été en contact avec ces pratiques répandues depuis presque 20 ans !"

D'après un article d'Honest Reporting en 2002 :

Il y a aussi une cause économique à cela. Les photographes palestiniens reçoivent des agences étrangères 300 dollars pour chaque bonne photo ; c’est pourquoi ils créent délibérément des provocations avec les soldats. Ils ont rabaissé au plus bas niveau le métier de photographe. Sur les ordres directs de l’Autorité Palestinienne, les bureaux des agences étrangères à Jérusalem sont obligés d’engager des directeurs et producteurs palestiniens. Ces personnes décident de ce qui est diffusé. Les journalistes vont certainement démentir mais c’est la réalité.

 


Bref clip vidéo, les images parlent d'elles-mêmes !

 

En anglais :

 


Les Israéliens sont victimes de ces attaques quotidiennement, il n'y a pas un jour sans une attaque soit par pierres, balles, explosifs et depuis peu liquides glissants répandus sur les routes !!!

 

 


 

 


 

 

Tag(s) : #Désinformation - réinformation
Partager cet article
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :