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Hamas 1000 morts, Israël "seulement" 40

Voilà comment on présente le conflit en France, aux infos !

 

Les journalistes,  professionnels qui devraient respecter la plus élémentaire des déontologie, la charte du journalisme[1], se font les porte-paroles du Hamas, un mouvement terroriste de la pire espèce, mouvement totalitaire [2] qui hait les Juifs, lien,   les femmeslien[3],   la musique,   sa propre population, lien,   l’Occident, y compris leurs alliés occidentaux, y compris leurs camarades de route d’extrême-gauche,   communistes, Olivier Besancenot, Marie-Georges Buffet etc. qui ont contracté une alliance perverse comparable au pacte germano-soviétique dont les conséquences se payèrent en millions de morts.

Et dire que beaucoup parmi ces gens-là ont en plus le culot de dire qu’ils ne sont pas antisémites ! Vous n’êtes pas aptes à juger si vous l’êtes ou non, vous l’êtes exactement au même niveau que ceux qui accusaient les Juifs au Moyen-âge d’empoisonner les puits et de perpétrer des crimes rituels sur des petits enfants !
Au même niveau que les masses de ce misérable lumpen prolétariat russe, polonais, roumain, qui se déchaînaient dans des accès de fureur qui dégénéraient en Pogrom au moindre prétexte !
Au même niveau que ces masses arabo-musulmanes qui se déchaînent encore aujourd’hui exclusivement contre les Juifs ! Les Yahoud, insulte en arabe, accusés de tous leurs maux et dont l’histoire est également parsemée de massacres et persécutions qui n’ont rien à envier à ceux de Russie, mais qui sont tout simplement moins documentés. La liste est si longue qu’il faut des livres[4] entiers pour toutes les persécutions[5] endurées par les Juifs d’Afrique du Nord, du Proche et Moyen Orient comme le Yémen, l’Iran, le Maroc, y compris les provinces de l’Empire ottoman…

1000 morts, avez-vous vérifié ? Combien de combattants du Hamas ? Depuis quand les chiffres des Talibans de Gaza sont-ils fiables ? Ignorez-vous les Instructions, lien, de propagande éditée par le ministère de l'intérieur du Hamas ?
"Chaque personne tuée ou chaque martyr doit être appelé civil innocent palestinien" ! 
[J'ajoute que ces instructions sont bien appliquées par les correspondants de presse puisqu'on ne voit aucune photo des combattants du Hamas...]
Que doit faire Israël, se laisser anéantir ? Israël essaie par tous les moyens possibles, lien de minimiser les pertes civiles en prévenant les populations qui servent de boucliers aux lâches terroristes islamiques ! Il y a beaucoup de dégâts matériels, c'est vrai, beaucoup d'immeubles détruits qui abritaient des QG terroristes, quelquefois contre le gré de la population qui risque la mort en s'y opposant.
Il y a des victimes civiles évidemment que les Israéliens sont les premiers à déplorer et ils ont même construit un hôpital de campagne lien pour soigner les blessés, mais à ce jour, il y a moins d'enfants tués par les bombardements israéliens que d'enfants morts en construisant les tunnels de Gaza !
 

Toute la bande de Gaza est truffée d'un réseau de souterrains qui a couté des millions de dollars, subventionné par l'aide internationale et les trafics en tout genre, réseau conçu pour donner l'assaut final à Israël petit pays qui continue à survivre à toutes les attaques depuis sa création légitime.

Entre Israël et le Hamas (avec qui l'OLP de Mahmoud Abbas, le négationiste, a signé une alliance) vous avez choisi votre camp.
Vous ne pouvez plus dire que vous ne savez pas, on ne peut plus dire que vous êtes naïfs, vous avez fait le choix du mauvais camp, au nom d’une idéologie perverse, gangrénée, momifiée qui vous a rigidifié le cerveau. Quand vous serez les premiers à en être victimes ne comptez pas sur notre compassion.

En conclusion, je redis que je ne comprends toujours pas cette passion obsessionnelle pour les Arabes palestiniens. Qu'ont-ils d'admirable ou de tellement particulier qu'ils suscitent tant d'attention, occultant les millions d'autres réfugiés et victimes de guerre dont beaucoup sont bien plus dignes de compassion ? Ils sont éduqués à la haine, ils ont choisi des dirigeants despotiques, corrompus, les femmes quand elles ne subissent pas des crimes d'honneur n'ont que peu de droits, pour Gaza le Hamas n'a rien à envier aux Talibans, de l'autre coté vous avez une population laborieuse, créative, avec liberté d'expression, égalité des femmes, dont l'apport dans les domaines technologiques, médicaux, de la recherche scientifique, artistique, musique, innovations de toutes sortes est incomparable et pourtant on soutient les Palestiniens et on hait les Juifs !

-------------Notes

[1]articles 8 et 9 de la Charte de Munich, censée réguler l’exercice du journalisme au quotidien :

Article 8 : s’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondements ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information.

Article 9 : ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste. source :  Rappel de la Charte de Munich | Alexandre Krivitzky 

[2]http://www.jpost.com/Edition-fran%C3%A7aise/Israel/Vers-une-prise-de-conscience-du-monde-arabe-368443 :
Les nations arabes commencent à réaliser que la brutalité du gouvernement du Hamas – qui fait strictement appliquer la charia, persécute les femmes, les chrétiens et les homosexuels, glorifie la mort violente, et tient la population de Gaza de 1,8 million d’habitants en otage, lui infligeant des souffrances indicibles – représente un danger pour tout le monde arabe.

[3] Dans les territoires palestiniens
 les deux gouvernements [de la Cisjordanie et de la bande de Gaza] imputent à l’occupation israélienne leur apathie et leur incapacité à défendre [les droits] de la femme. C’est la même excuse qui est utilisée par les pays arabes [pour expliquer] l’absence de réformes politiques et économiques et de défense du citoyen arabe. Le pouls du prétexte de la grande campagne contre Israël bat encore après plus de 60 ans, bien qu’il n’y ait aucune trace de guerre – et je n’en souhaite certainement pas une – ni de « paix des braves »…

En plus de souffrir de pauvreté et de violences conjugales, [fléaux] très répandus et culturellement acceptables, les Palestinienne sont victimes de la pire des violations: les « crimes d’honneur ». Les statistiques montrent que, dans les neuf premiers mois de 2013, 25 crimes de ce type ont été commis, et pourtant les autorités [l'Autorité palestinienne et le Hamas] ne lèvent pas le petit doigt pour amender les lois en vigueur depuis l’âge de pierre, qui exonèrent le meurtrier au motif qu’il défendait son honneur. 

[4]  L’exil au Maghreb – La condition juive sous l’islam 1148-1912

La fin du judaïsme en terres d'Islam Shmuel Trigano

Georges Bensoussan, Juifs en pays arabes

Juifs et chrétiens sous l'islam, Bat Yéor

 

[5] massacre de Kairouan, de Grenade, Tlemcen, Marrakech, Bagdad, Jerusalem, Fez, Ispahan, Agadir, Alger...

Après la mort d’un sultan équitable envers les Juifs, une persécution éclata à Meknès vers 1790. Moulay Yazid, le nouveau sultan, donna l’ordre de piller les maisons juives ; on vit assaillir les synagogues, lacérer les rouleaux de la Loi, puis les Juifs appauvris furent expulsés sous le prétexte qu’ils  étaient devenus des mendiants, tandis qu’on emprisonnait les notables. Un certain nombre de Juifs fut forcé de se convertir à l’Islam. A Fez la haine religieuse poussa les Musulmans à violer les tombes juives et à transformer les synagogues en écuries. Tétouan fut le théâtre d’un pillage méthodique, après avoir failli subir un massacre général. Les troubles s’étendirent à Taza. La haine populaire et la violence atteignaient les pauvres aussi bien que les riches ; on obligea les juifs à changer la couleur de leurs habits ; pendant près de deux ans les Juifs furent parqués dans la casbah. Moulay Yazid ayant pris Marrakech, en 1792, livra les Juifs au pillage, à l’assassinat et au viol[80]. En 1811, on signale encore le pillage de la communauté de Meknès ; trois synagogues brûlèrent dans l’incendie : «Le gouverneur de la ville avait, par ordre du sultan, fait mettre le feu aux synagogues construites dans l’année.» Le mellah de Fez fut pilllé encore une fois en 1820[81].

Les Juifs algériens n’avaient pas à l’aube du XIXe siècle, le droit de se défendre contre les Musulmans ; les armes leur étaient naturellement interdites ; ils ne pouvaient porter de canne, ni sortir sans permission d’Alger cinq jours sur sept ; en 1815, pendant une épidémie de sauterelles, les Juifs furent réquisitionnés pour protéger les jardins du dey. Ils devaient enterrer les condamnés à mort, nourrir les animaux du sérail, servir de dockers dans les circonstances difficiles. Voulait-on détrôner un dey ? On promettait aux janissaires : «Je vous accorderai… pendant trois jours le droit de saccager les Juifs.» En 1805, un pillage général du quartier juif incita le consul de France à donner asile à deux cents Juifs ; on compta quarante-deux morts. En 1806, un autre pillage aboutit au massacre de trois cents Juifs. En 1818 on livra dix-sept jeunes Juives de Constantine an harem du dey. En 1830, un nouveau pillage du quartier juif éclatait à Alger. Les corvées que supportaient les Juifs tunisiens ne furent supprimées qu’en 1855 ; l’année suivante, un Juif accusé de blasphème contre l’Islam, sur la seule dénonciation d’un Musulman, fut exécuté[82].

Sous le sultan turc qui détruisit le corps des janissaires, réduisant ainsi à néant une soldatesque antisémite, le grand-vizir aurait dit que les Juifs «étaient les plus vils des raïas». On le leur fit bien voir en doublant la capitation qu’ils devaient payer[83]. Les troupes d’Ibrahim Pacha révoltées contre le sultan détruisirent en partie Jérusalem, Safed, Hébron, en 1834, et «pillèrent plus particulièrement les Juifs sans défense, tuant les hommes, violant les femmes, profanant les synagogues[84]».

Au XXe siècle les Juifs du Yémen furent systématiquement persécutés. «On les forçait de nettoyer les égouts en les conduisant par brigades à cette corvée et on leur extorquait leur argent en les obligeant à acheter des comestibles corrompus. Les Israélites ne pouvaient se tenir à la droite d’un Arabe ; ils ne devaient porter que des vêtements noirs, enfin ils ne pouvaient faire leurs emplettes au marché qu’après que les arabes eussent fini les leurs. On ruinait les Juifs par des impôts et on leur infligeait les plus vils traitements.» La situation des Juifs yéménites était si pénible, il y a quelques années encore qu’ils ont tous quitté cet Etat inhospitalier pour vivre en Israël[85].

Les Juifs persans, au siècle dernier, ne faisaient eux aussi leur marché, que lorsque les Musulmans l’avaient terminé[86] et en 1905 encore, ils étaient astreints à porter un bonnet spécial[87]. On signale des pogromes à Ispahan en 1834 et 1891, année où les Juifs furent accusés d’avoir brûlé le Coran. Pour mieux se défendre, ils construisirent des maisons entièrement closes sur le monde extérieur[88]. En 1865 les Juifs persans firent appel à leurs coreligionnaires d’Occident pour obtenir une amélioration de leur sort : le meurtre d’un Juif par un Musulman n’était passible que d’une amende ; encore fallait-il qu’un autre Musulman eût été le témoin du crime… Les diplomates européens intervinrent auprès du gouvernement local pour obtenir un adoucissement de la condition des Juifs[89]. Mais, en 1900, une communauté de Juifs persans, attaquée par la foule fut contrainte de porter la rouelle rouge, tandis qu’on obtenait la conversion des notables par la force. Deux pogromes éclataient en 1910 sans que les autorités centrales puissent les empêcher[90].

Le sort des Juifs marocains n’était pas plus brillant à la veille de la conquête française ; de nombreuses interventions étrangères l’attestent. En 1907 les partisans de Moulay Hafid pillèrent les Juifs de Casablanca et en tuèrent quelques-uns. L’entrée des troupes françaises, à Fez, en 1912, s’accompagna d’un pogrome où brûla le tiers du mellah ; on compta soixante morts. Un autre pogrome de trois jours se déroula dans la même ville en 1913[91]. Les mœurs quotidiennes, s’ajoutant aux événements exceptionnels et violents, éclairent l’antisémitisme des Musulmans marocains : en 1836, les Juifs de Fez demandèrent au sultan l’autorisation de construire un hammam dans leur quartier. Le souverain consulta douze oulémas. Onze d’entre eux s’y opposèrent absolument, parce qu’à leur avis il fallait avilir les Juifs jusqu’à ce qu’ils se convertissent, et que le Coran prescrivait l’abaissement et la condition servile d’Israël : un hammam, nécessaire aux Musulmans, était donc un objet de luxe pour les Juifs. Le sultan repoussa la requête juive. En 1898 une nouvelle supplique connut le même sort[92]. En Turquie, à la même époque, on se contentait d’exactions financières[93]. Il y eut une émeute antisémite en Libye, en 1867 ; profanée, la synagogue de Tripoli fut incendiée[94]. Des troubles antisémites se produisirent en Tunisie en 1917[95].

Les Juifs afghans, en partie d’origine persane, étaient soumis ces dernières années encore, malgré leur petit ombre, à la résidence forcée, à l’interdiction de posséder la terre et de se livrer au commerce ; on les empêchait d’écrire à l’étranger ; on les employait durant leur service militaire aux travaux les plus grossiers[96].

Le haut commissaire britannique en Palestine qualifiait en 1929 les massacres d’Hébron de «meurtres sauvages perpétrés contre des membres sans défense de la population juive[97]». Depuis lors, la pression des Musulmans sur la puissance mandataire s’exerça constamment dans un sens de plus en plus hostile, jusqu’à la guerre où Juifs et Arabes s’affrontèrent ouvertement. Dira-t-on que dans la guerre incontestablement «nationale» qu’ils ont menée contre les Sionistes, les arabes n’aient agi que par xénophobie ? Il convient de rendre justice au Grand Mufti de Jérusalem, probable bénéficiaire en Palestine, d’une défaite juive. Il ne se contentait pas de conquérir à Berlin la sympathie d’un Himmler, qui déplorait que les défaites turques du XVIIe siècle, sous les coups germaniques, eussent retardé l’écrasement définitif du christianisme enjuivé ; le Grand Mufti s’opposait aux projets si tardifs par lesquels le chef suprême des S. S. voulait échanger quelques survivants Juifs contre quelques avantages économiques. Au cours de la lutte d’influences qui se livra dans l’entourage d’Himmler, le Grand Mufti se rangea parmi les «exterminateurs»[98].

 

 

Dernière mise à jour 22h30
Tag(s) : #Conflit israélo-arabe, #Terrorisme - Djihad, #Antisémitisme et-ou Antisionisme, #Gaza
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