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Avevo una speranza, di Deborah Fait

       

Le duo de la terreur                                            Bravo au journaliste Antonio Caprarica

      J'avais une espérance, Deborah Fait

Hier soir, j'avais une secrète espérance, secrète et combien stupide. Alors que défilaient les équipes d'athlètes, je pensais : quand viendra le tour d'Israël, le public va se lever et observera cette minute de silence refusée par le Comité olympique international. La délégation israélienne est arrivée, numéro 92, les athlètes étaient vêtus d'un uniforme bleu, ils arboraient un mouchoir noir dans la pochette de leurs vestes, en mémoire du massacre de Munich.

 

Je pensais à voix haute : « allez debout, levez-vous, donnez-nous l'espoir que le monde est meilleur qu'il n'y paraît, je vous en prie, levez-vous » ! Cela n'est évidemment pas arrivé, il était absurde d'espérer que le public, qui  sans doute n'était même pas au courant de ce qui s'était passé en 1972 à Munich, prenne une telle position courageuse contre l'infamie du COI.

 

J'admets avec amertume que j'ai été déçue mais ma déception a été heureusement compensée par les paroles courageuses d'Antonio Caparica, l'envoyé spécial de la RAI à Londres qui a spontanément et ouvertement critiqué le COI, en la personne du président Rogge, lui imputant la grande erreur d'avoir refusé de commémorer officiellement après 40 ans de silence, les victimes israéliennes du terrorisme palestinien.

 

Face à la lâcheté manifestée par Roger et le Comité olympique, le courage remarquable, très remarquable, d'un journaliste au franc-parler qui se trouvait être un journaliste italien m'a rendu fière.

 

Ce sont des choses qui vous font du bien, le courage contre la peur abjecte.

 

Merci M. Caprarica ! Grâce à vous, ma rage à l'encontre de la lâcheté de celui qui était assis, le torse bombé, à côté de la reine, avec un air pompeux et arrogant, cette rage s'est légèrement atténuée. Je ne regarderai pas les jeux olympiques, après cette confirmation de la servilité au monde arabe, de la lâcheté, de l'indifférence honteuse de ceux qui font des vains discours, à la rhétorique mensongère sur « la fraternité et la loyauté », pour moi les jeux ont commencé et sont déjà finis. 

 

La lettre d'un des concepteurs du massacre, cet Abou Mazen [nom de guerre de Mahmoud Abbas, le président de l'autorité palestinienne], digne héritier du terroriste Arafat, est un exemple du degré de bassesse jusqu'où peut descendre le genre humain. Ce palestinien, chef des palestiniens, boss du terrorisme, fossoyeur de tout dialogue avec Israël, cet être abominable a écrit comme vous le savez sans doute, pour féliciter Rogge d'avoir refusé la minute de silence pour cette tragédie dont il a été un des acteurs. Je vous jure que je n'arrivais pas à croire ce que je lisais, Abou Mazen a écrit que « le sport doit servir à la paix et non pas au racisme » !

 

Restez-vous sans voix ? Moi pas, je pense qu'un assassin d'athlètes innocents, tué seulement parce qu'ils étaient israéliens, qui ose parler du sport vecteur de paix, a le visage d'un hypocrite et le cœur d'une hyène. Ce même assassin qualifie Israël de raciste pour avoir demandé de commémorer officiellement devant le monde entier l'assassinat de ses athlètes.

 

On ne peut même pas dire « honte à Abou Mazen », car un être comme lui n'éprouve pas de honte, il n'a ni humanité ni conscience. Un être comme lui connaît seulement la haine et la férocité. Un être comme lui vit en se nourrissant de la souffrance de ses victimes.

 

J'avais espéré, mes amis, j'avais espéré que les 80 000 spectateurs présents à l'inauguration des jeux olympiques nous auraient rendu justice, je l'avais espéré pour les veuves et pour les enfants des Israéliens tués, je l'avais espéré pour Israël, pour moi, pour le monde.

 

Cette minute de silence qui aurait permis qu'enfin, après tant d'années d'un silence assourdissant et lâche, reposent en paix nos 11 juifs assassinés en Allemagne, 30 ans après la Shoah, cette minute de silence ne viendra jamais.

Adapté par Danilette

Tag(s) : #Deborah Fait, #Terrorisme - Djihad, #Conflit israélo-arabe, #Arabes palestiniens
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